15 octobre 2024

La dessinatrice Catherine Beaunez exposait à Barbotan

CAZAUBON-BARBOTAN LES THERMES Mercredi après-midi, à l’invitation de l’Utepsiaa, la dessinatrice Catherine Beaunez exposait ses planches, des cartes postales illustrées par ses dessins humoristiques et quelques-uns de ses livres, notamment « Liberté chérie » et « On les aura ». Elle a commencé sa carrière de dessinatrice de presse et d’humour à l’âge de 20 ans. Elle a fourni, […] Lire l’article original

CAZAUBON-BARBOTAN LES THERMES

DSC_0037 (6)

Mercredi après-midi, à l’invitation de l’Utepsiaa, la dessinatrice Catherine Beaunez exposait ses planches, des cartes postales illustrées par ses dessins humoristiques et quelques-uns de ses livres, notamment « Liberté chérie » et « On les aura ».

Elle a commencé sa carrière de dessinatrice de presse et d’humour à l’âge de 20 ans. Elle a fourni, durant toutes ses années professionnelles, de très nombreux dessins, publiés dans une centaine de journaux et magazines, notamment « Le Monde », « Le Nouvel Observateur », « Le Point », « Marianne », « L’Humanité », « Libération », « La Croix » ou « Charlie Hebdo », ainsi que dans plusieurs titres européens.

Catherine Beaunez, par ses dessins enthousiasme les uns, énerve les autres, les uns aiment, les autres n’apprécient pas du tout son humour qui décoiffe, et exprime un regard féministe qui dérange.

 Avec ses dessins, Catherine Beaunez, exprime ses idées, son regard cocasse sur certaines situations quotidiennes.

Dans « On les aura » , le lecteur découvre une centaine de dessins d’humour sur les relations hommes  femmes en politique.

Dans « La Liberté », livre  Réservé aux femmes (et aux hommes qui veulent savoir). Catherine Beaunez en tant que nana parle de ses envies, de ses désirs…

Elle conseille aussi ce livre aux hommes qui ne veulent plus être phallocrates … 

Depuis plusieurs années, Catherine Breaunez, vient à Barbotan les Thermes, et maintenant commence à réaliser des dessins humoristiques sur la cure et les curistes. Le tout pour rire et faire rire.  

Lire l’article original