Le conseil municipal a fait sa rentrée

SAINT-JUSTIN
Les charpentiers de l’entreprise Paillaugue seront sur le toit de l’église de Sait-Martin de Noët jusqu’à la fin septembre (photo Jean-Marie Tinarrage)
Mardi soir 7 septembre, les conseillers municipaux se sont retrouvés autour du maire Philippe Latry pour le conseil municipal de rentrée : “Pas pour prendre de grandes décisions mais pour relancer la machine… qui ne s’est pas arrêtée durant l’été“.
Chantal Darrouy faisait un point sur la rentrée “qui s’est bien passée” : 102 enfants, une équipe enseignante au complet et une fiche de poste pour chacun des employés communaux. Côté cantine, où un renouvellement de matériel de cuisine est à l’étude, les menus communs avec Le Frêche sont reconduits, intégrant des repas à thème (toujours à 2,60 € le repas). La piscine redémarre le 13 septembre et des interventions des écoles locales de basket, foot et musique sont programmées.
Le maire signalait aussi qu’il venait de signer pour l’acquisition du bâtiment de la poste, relançant de fait, la rédaction du cahier des charges.
De gros travaux en cours
L‘entreprise Paillaugue a commencé le chantier de la toiture de l’église de Saint-Martin où elle passera tout le mois. La préfecture a octroyé 30 % de subvention (DETR) que la Direction Régionale des affaires culturelles pourrait abonder. D’autant que, suite à la visite de Vincent Matéos, la chaire a été ajoutée à l’Inventaire.
Des améliorations ont été apportées à l’un des 5 logements communaux de la rue Michelbach le Haut, construits en 2003, avec réflexion engagée sur la peinture extérieure. Philippe Latry a fait savoir que la directrice de XL Habitat allait venir présenter le projet économique de la reconversion de l’ancienne gendarmerie avec, a priori, 2 familles dans les pavillons annexes et 4 logements dans le corps principal.
Un retour a aussi été fait sur la réunion publique de présentation du plan de référence tenue le 6 juillet. D’ici le 15 octobre, seront organisées des réunions par quartier afin de recueillir les perceptions de chacun sur leur cadre de vie. Une démarche participative qui permettra de faire remonter les attentes au niveau du bureau d’études.
Clôture de la zone artisanale et incivilités au pied des conteneurs ont alimenté échanges et informations.