Le bel été d’enfance jeunesse

LANDES D’ARMAGNAC – RETJONS
C’est dans la salle des fêtes de Retjons que s’est tenu le dernier conseil communautaire (photos Jean-Marie Tinarrage)
Réunis à Retjons autour du président Philippe Latry, les délégués de la communauté de communes des Landes d’Armagnac ont eu droit à un premier bilan de fréquentation estivale des structures enfance-jeunesse.
En s’appuyant sur les chiffres 2019 et 2020 (“année Covid”), la vice-présidente Sophie Ducoudré a présenté un résultat à la hausse. Ainsi, sur les 2 sites du service enfance, le niveau 2019 est retrouvé (4 219 enfants). De plus, le respect des inscriptions a permis d’adapter l’encadrement aux besoins, minimisant ainsi les difficultés de recrutement de personnel qualifié (BAFA). À souligner aussi que sur Sarbazan, la mise à disposition par la municipalité des locaux de l’école, a facilité l’accueil dans le respect des contraintes sanitaires.
Par contre, pour le service jeunesse, c’est de “fréquentation très largement en hausse” sur les 2 pôles dont a parlé Sophie Ducoudré (1 142 au total pour 733 en 2019). Elle a aussi souligné les bonnes relations entre éducateurs et professeurs des 2 collèges. Enfin, la piscine communautaire à Gabarret affiche une hausse de fréquentation de 18 % par rapport à 2020 tout en restant en retrait de 20 % sur les années non-Covid.
Santé et développement
Frédéric Duprat, vice-président en charge des services à la population, a fait un point d’étape sur les travaux de la commission santé. Après échanges et débat, des pistes vont être approfondies (attractivité et consolidation de l’existant) sachant qu’aujourd’hui “le travail porte en urgence sur les médecins, dentistes et kinésithérapeutes, autour desquels peut se construire une véritable offre de santé pour le territoire” précisera le président Latry.
Nicolas Lafon, en charge du développement économique, a ensuite mis l’accent sur le SARE (service d’accompagnement à la rénovation énergétique) qui permet aux particuliers de bénéficier de financements de la Région via la plateforme Soliha à laquelle la CCLA a décidé d’adhérer.
Enfin, dans le cadre du PLUI dont a parlé le vice-président François Hubert, les élus ont confirmé leur attachement au principe de “ruissellement” des ressources financières liées au photovoltaïque.