Grand succès du lancement des microfusées
GABARRET Jeudi 2 Juin, le matin, les lycéens de terminale de BAC Pro S.N (Systèmes Numériques) du lycée privé Saint-Joseph, apportaient les dernières finitions à leurs microfusées, La phase première de ce projet a débuté au début du mois de mars 2022, par l’intervention de Bruno Roubinet de Lacq Odyssée en charge du suivi […] Lire l’article original
GABARRET
Jeudi 2 Juin, le matin, les lycéens de terminale de BAC Pro S.N (Systèmes Numériques) du lycée privé Saint-Joseph, apportaient les dernières finitions à leurs microfusées,
La phase première de ce projet a débuté au début du mois de mars 2022, par l’intervention de Bruno Roubinet de Lacq Odyssée en charge du suivi des projets Espace avec Planètes Sciences & le centre national d’études spatiales.
Depuis cette intervention, les élèves, partagés en six groupes, ont donc suivi toutes les consignes pour réaliser six microfusées.
Jeudi en fin de matinée, avant de valider les microfusées, les membres de Lacq Odyssée, Bruno, Anne -Sophie et Alain ont contrôlé les microfusées, leur stabilité, donné des conseils sur les ailerons, le diamètre des parachutes en fonction du poids de la fusée. Caméra, capteur de température, capteur de pression et altimètre étaient embarqués à bord des engins.
L’après-midi, à l’hippodrome du Marais, les lycéens, professeurs et membres de Lacq Odyssée se sont retrouvés pour faire décoller leurs fusées sous la direction de Bruno Roubinet qui a rappelé à tout le monde les consignes de sécurité.
À la demande des lycéens, c’est la fusée des professeurs, Thomas Marguerat, Jean-Philippe Bonnet, Éric Rigal, Stéphane Barlaud et Marie Lagoeyte, qui a été la première à être placée sur la rampe de lancement.
Bruno Roubinet a invité l’assistance à faire ensemble le compte à rebours. La fusée des professeurs, est montée à 241 mètres et est redescendue en douceur grâce à son parachute.
Les autres fusées ont toutes très bien décollé et sont montées entre 203 mètres et 229 mètres.
Ce fut un succès complet révélant ainsi le sérieux et la qualité du travail de ces lycéens qui naturellement appréhendaient l’échec.